VGTAL3DESIGN: Christophe Gilbert

Un mur végétal, pour quoi faire?

Quand on pense mur végétal, on pense esthétisme et écologie. Bien sûr, un mur végétal va embellir une façade et apporter du vert et du vivant à un environnement urbain où le gris et le minéral dominent en masse. Mais pas seulement.

Un mur végétal va absorber les bruits. Il est donc à privilégier lorsque l'on habite une rue bruyante ou que l'on partage un open space.

Un mur végétalisé c'est aussi un mur avec une meilleure isolation thermique.

Les plantes régulent les gains et les pertes de chaleur et d'humidité. Installé à l'extérieur sur une façade ensoleillée, il va absorber le rayonnement solaire et permettre de maintenir la fraîcheur l'intérieur du bâtiment.

Un mur végétal, comment ça marche?

Les plantes sont cultivées à la verticale dès leur prime jeunesse. Elles sont donc déjà habituées à la station verticale et ont ainsi beaucoup moins de problèmes d'acclimatation une fois installées sur un mur.

Le choix des plantes s'opère selon le climat et les expositions. Les plantes ont été sélectionnées notamment pour leur faculté à rester vertes toute l'année. Des plantes spécifiques sont prévues pour les murs végétaux intérieurs.

Un système d’irrigation automatique est intégré au mur. Il est composé d’un réseau de tuyaux à micro goutteurs pour un système très économe.

Quel bonheur de se mettre au vert !

Nous n’avons pas tous la chance d’avoir un jardin, et quand bien même on en a un, il est rare qu’il soit dans le salon…
Petit caprice végétal pour la déco, le jardin vertical, c’est un espace de verdure, calme et apaisant, là où on ne s’y attend pas !
Plus à vos pieds mais sous vos yeux, là, face à vous, ce petit jardin se regarde comme un tableau sur un mur…

Une fois posé vous ne vous occupez presque de plus rien… Les prix comprenant le système d’arrosage, le cadre, les plantes, le support et le bac de récupération en eau.

Créativité et esthétisme, jeu de couleurs, le mur végétal a tout d’une œuvre d’artiste, le feuillage en plus…

mercredi 9 mars 2011

Christophe Gilbert